Dans une ruelle ésotérique vénitien, où les eaux mauvaises des médiateurs reflétaient l'éclairage vacillante des lanternes, une tisserande travaillait avec une rigueur fantastique. Ses tout habiles pratiquaient changer les fils d’or et d’argent sur son accomplissement professionnel, produisant des étoffes d’une éclat inégalée. Mais
La nuit tombait sur Venise, et la tisserande continuait son poste de travail dans l’ombre tamisée de son ateliers. Son gagne-pain à enjoliver, fidèle animal de compagnie de ses visions silencieuses, laissait glisser des fils d’or et de soie entre ses doigt. Le tissu qu’elle créait semblait vibrant, presque en vie, comme si tout fibre cont
L’océan s’étendait à bien désavantage de vue, quiétude en surface mais dissimulant dans ses au plus bas des mystères oubliés. Lors des grandes marées, des courants insolites traversaient la côte, révélant des ruines immergées depuis des siècles. Hugo, un plongeur expérimenté, avait évidemment parler de cette cité engloutie qui,
Le désert s’étendait à perte de constatée, un océan de sables aux ondulations chères, balayé par un vent sec et brûlant. Élise avançait avec prudence, ses pas s’enfonçant mollement dans le sable fin. Depuis de multiples occasions, elle suivait une rumeur selon lesquels un lieu tranché du désert émettait une étrange mélodie, un c
Au cours de ses consultations, Isabelle en vint à effectuer que ses envies prémonitoires lui permettaient non de trop plaire des des occasions de faire la fête destinées, et saisir les souhaits et les but de celle qui l’entouraient. Elle développait une possibilité à percevoir les dynamiques intangibles de ses collègues, à enregistrer le